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DOSSIER SPÉCIAL: COVID, un an déjà - Relève vétérinaire

Relève vétérinaire

La recherche de solutions pour assurer la relève vétérinaire au Québec se poursuit et, dans ce contexte, nous avons déposé auprès du ministère de l’Enseignement supérieur un dossier d’opportunité sur la faisabilité d’un programme décentralisé de formation en médecine vétérinaire en partenariat avec l’Université du Québec à Rimouski. L’objectif de ce projet est d’apporter une solution à la pénurie de médecins vétérinaires en région, particulièrement dans le domaine bioalimentaire.

À ce chapitre, il est important d’ajouter que les stages incitatifs en médecine vétérinaire dans le domaine bioalimentaire, financés par le MAPAQ, sont reconduits cet été et plus d'une centaine d'étudiants comptent y participer.  

De plus, nous avons ajouté l’automne dernier une nouvelle catégorie d’admission à l’intention de candidats qui possèdent déjà une solide expérience dans le domaine bioalimentaire. Nous avons reçu des dossiers de grande qualité et 15 étudiants ont été admis via cette nouvelle catégorie, en pleine pandémie!

Maintien de l'enseignement

Contre vents et marées, pour le meilleur et parfois certains nous ont dit le pire, les cours et les stages se sont poursuivis. Oui, des ajustements constants ont été requis, des craintes ont dû être apaisées et de nombreux problèmes résolus. Rappelons que nous avons tous appris en même temps, nous avons « construit l’avion en vol » comme l’a dit le premier ministre Legault.

Ainsi, nous sommes maintenant familiers avec Zoom et Teams et le programme a été livré. Même si ce n’est pas toujours idéal, ces modes d’apprentissages nous ont offert de nouvelles possibilités.

Les stages des étudiants de 5e année au CHUV sont en cours, et cela grâce à la collaboration d’un personnel dévoué et de clients collaborateurs. Nous sommes également à implanter graduellement la nouvelle politique de stage dont la rédaction a été terminée au printemps 2020. 

 

Suite du dossier spécial : Infrastructures

DOSSIER SPÉCIAL : UN AN DE PANDÉMIE